22 février 2009
Les mots me manquent
J e n'ai jamais autant pleuré de toute ma vie au cinéma, même pas pour Je vais bien, ne t'en fais pas. Les préjugés sur les américains ont complètement disparu. Malgrè une bande-annonnce qui ne fait qu'expliquer son contenu, et qui donne fort malheureusement...